Photos : Alice Duffelcocotte et Paula Rhoïde.

samedi 10 mars 2012

Histoire de merle, de paresse, de patronne et de visserie (huilée à ma façon, autant dire qu'on ne peut guère dire bien huilée ;-D)

Le merle scarifie notre pelouse et je le regarde bosser, c'est assez agréable d'être contrôleur du travail fait par d'autres. Bigre me découvrirais-je des atomes insoupçonnés de patronne ?
Que je réfléchisse, je prends actuellement mon pied à réaliser un travail artisanal... Je n'ai donc point encore acquis l'âme d'une cheffesse. Ouf, c'est juste la paresse qui me gagne ! Et ça tombe bien, j'ai besoin de fixer des étagères dans l'arrière-cuisine (endroit métamorphosé en moulin à papier de fortune). Comment ça, vous ne voyez pas le rapport ? La paresse ne serait-elle donc plus la mère de toutes les vis ?

4 commentaires:

  1. Faute de vis on observe les merles !!! C'est bien connu !!!
    :-D

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  2. Toujours en cheville avec les bananes ?

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    1. Oui, et ça me file même une sacrée banane, bien qu'elles me donnent de la fibre à retordre !

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