Photos : Alice Duffelcocotte et Paula Rhoïde.

dimanche 18 mars 2012

Métamorphoses et chrysalides

Voilà, je suis en train de prendre mes marques dans mon nouveau blog, je sais, je déménage souvent, je déménage autant que je mue, je suis sujette aux métamorphoses depuis sept ans maintenant, de chrysalides en chrysalides, je deviens autre chose, à moins que je n'apprenne à mieux me connaître... Je ne saurais dire. En février j'avais écrit sur mon carnet de notes : "Il est long le chemin pour arriver jusqu'à soi, suis-je arrivée ? Ai-je encore du chemin à faire ? Nul ne le sait si ce n'est le mystère..."

samedi 17 mars 2012

Journée Guide Nature Volontaire

Programme milieu humide au matin et batraciens l'après midi. C'était sympa malgré les interro surprises (maintenant je vais pourvoir répertorier les batraciens de la mare... N'entendez pas par là, que je vais les épingler dans un répertoire, à l'ère de la photo, y'a plus besoin de coller les animaux dans le formol, pis, de toute façon, ça ne s'accorderait pas avec la déco de notre maison).
Bon, comme on est sur les bancs de l'école, on fait aussi tout un tas de jeux. Aujourd'hui, j'ai été tour à tour butor étoilée (il faut retenir étoilé !!) pollution (c'est vraiment pas mon truc) et prairie humide. Alors, hier encore je l'ignorais, mais aujourd'hui, je le sais, je préfère être prairie humide et fleurie, dansant dans le vent. D'ailleurs comme je suis vannée, je vais aller végéter un brin ;-)

vendredi 16 mars 2012

Ah !!! N'ayez pas peur, c'est un cri de joie !

Après m'être échinée sur mon projet papier banane depuis plus d'une semaine, je viens d'en venir à bout ! Bon, je vous fais saliver pour rien, je ne peux pas vous montrer. Eh non !!
Bon, je crois que j'ai mériter de m'arrêter pour aujourd'hui !

Préparatifs

Réveillée à quatre heures moins des biquettes et c'est dommage, j'aime bien les biquettes et en voir quelques une supplémentaires cabrioler dans mon troupeau imaginaire m'aurait bien plu, mais bon passons. Je réfléchissais à une question que je m'étais posé il y a des mois déjà, sans y répondre : que vais-je emmener au salon du livre ? Et j'ai entendu mon roi accueillant me rappeler que l'an dernier, je devais l'emmener le premier jeudi d'avril à une expo, lui faire rencontrer du monde, tout ça. C'est vrai qu'il n'est jamais sorti d'ici. Du coup, entre cette boite là et la couverture de mes six histoires, si je veux un stand harmonieux, le choix devrait se faire presque de lui même, ai-je pensé. Et c'est ce qui se produit, en effet.
Accepter d'avoir la cervelle à l'ouest est une chose qui n'est pas facile : c'est que j'angoisse un brin quand je ne prépare pas les choses des lustres avant (comme auparavant) mais je constate que oui, je plante une graine et ma cervelle la jardine tandis que je ne fais rien. La première fois que j'avais accepté ça, je m'étais vu écrire pour une revue, un mois après la sollicitation et voir mon texte accepté d'un coup d'un seul et sans retouche. 
Me montrant qu'il faudrait peut-être que je me fasse un brin confiance.
Alors mon expo s'appellera "quelques (ou, j'ai une petite place et il faut que je remballe et déballe deux fois) jalons dans mon parcours de petit Poucet" (à la Prévert le petit Poucet, ça va de soi. Je vais donc au salon à dos d'autruche ! Elle sera garée sur le parking dehors, avec un seau de clous et une cloche pour son quatre heure. Tout le monde ne la verra pas, ça va de soi. Il faut un don d'imagination pour voir ces choses là).
Prévert me guide, il est celui qui m'a écrit (ben oui, je prends ses mots pour moi, c'est comme ça, il ne m'en a jamais tenu rigueur jusqu'ici, ni émis la moindre des réclamations) : "le meilleur moyen de ne pas avancer, c'est de suivre une idée fixe", alors puisque c'est lui qui me l'a demandé, j'ai lâché prise et j'ai découvert... quoi donc ? Toute une ligne d'horizon, dites donc !

PS : le premier qui pique une plume au croupion de mon autruche se verra botter le sien, c'est dit !!

NB : mince de mince !! Dans la foulée d'avoir publié ce billet, j'ai reçu un mail me demandant "Votre animal est-il bien assuré ?". Ben dites donc, heureusement que je ne suis pas parano !! Le hasard est étonnant :-D

jeudi 15 mars 2012

Grosse discussion, hier soir avec petit homme

qui est en train de vendre sa femme (enfin, il s'est remis en tête de faire la promo de mes six histoires et de faire du démarchage, il l'aime ce bouquin). Moi, je ne sais pas quoi lui dire, car si j'ai eu quelques retours assez extraordinaires, des gens qui l'ont lu d'une traite et des qui l'aiment au point de le lire et de le relire), la mayonnaise n'a pas pris, et ceux qui ont eu le courage d'être sincères lorsqu'ils n'ont pas aimés, m'ont dit que c'était trop dense et fouilli, fouilla. Je le sais, j'ai écrit cette œuvre ainsi parce que j'aurais voulu en lire une de cet acabit et aussi pour faire plaisir aux gens que j'aimais et qui réclamaient sa sortie lorsque je leur lisais à voix haute, sinon, il serait resté dans les cartons. J'ai eu aussi la bonne surprise de voir quelques personnes en prendre sous le bras pour essayer de lui donner d'avantage de place en ce monde. C'est réconfortant, touchant. Oui, bien des fois tout de même j'ai eu l'impression d'avoir eu raison de sortir ce bouquin, tel quel, mais mérite-t-il qu'on réimprime des exemplaires pour qu'il circule d'avantage et peuple d'autres étagères et peut-être d'autres esprits et cœurs ? Je n'ai pas la réponse, j'aurais une tendance naturelle à dire non. La femme qui a écrit ce bouquin s'est raccrochée à une bouée et n'avait pas confiance en elle, elle n'a pas pensé à un public, aux aspects commerciaux indéniables et indispensables à prendre en compte pour faire vivre une œuvre en davantage d'exemplaires. Je ne voudrais pas léser le public et je ne voudrais pas que le papier usé pour porter mes mots soit gâché.

mercredi 14 mars 2012

J'ai fichu une correction à la femme que je fus jadis

Une conteuse m'a demandé si je voulais bien lui prêter un de mes textes, du coup, je lui ai retapé et je corrige les fautes. Alors, je sais j'en fais encore, mais par rapport à avant, j'en fais franchement moins !!
Comme l'histoire concerne le papier et le recyclage et qu'elle a été sollicitée sur le thème du développement durable, elle a pensé à moi et cette histoire. Je dois dire que ça me fait bizarre. Aurais-je encore écrit ce texte aujourd'hui ? Je ne sais pas. Cette oeuvre que j'avais oubliée, je constate qu'elle vit sa vie.
Aujourd'hui, je l'ai augmentée d'un proverbe coréen, j'aime introduire mes écrits par une citation, un proverbe...
Celui choisit est : "même une feuille de papier est plus légère si on la porte à deux".

Je l'ai choisi car depuis j'ai fait mon deuil de certains projets que j'aurais dû porter avec d'autres. Les projets furent incinérés dans la cheminée, j'ai besoin de ça pour pouvoir vraiment passer à autre chose. Ce qui choque bien des gens je le sais, mais comme ils n'avancent pas à ma place, ma foi, je ne m'en excuse pas.
A l'époque, si j'avais besoin des autres, les autres eux n'avaient pas besoin de moi, c'est comme ça ! C'est ainsi que j'ai appris à porter une feuille de papier seule et ne riez pas, sorti de la cuve quand le tamis fait ventouse, ce n'est pas toujours léger. Les papetiers qui soulevaient du Raisin ou du Jésus, était gaulés comme des charpentiers. Je travaille pour l'instant de petits formats, pour les A3, j'attendrai de pouvoir m'installer au jardin et d'être trempée comme une soupe.

A titre indicatif, le format raisin mesure 50 cm par 65cm et le format jésus, 56cm par 76cm. Je n'ai pas de tamis ni de cuve pour cette taille, ni d'associé d'ailleurs avec qui le poids seraient plus léger, à n'en point douter !! Je crois même qu'il est impossible de soulever ça seul !!! Avant d'être tout léger le papier est tout lourd.

Un commentaire ? En guise de billet ? Mais c'est quoi ce blog ? Ben n'importe quoi, pourquoi, vous en doutiez ?

Le commentaire de MAP à mon précédent billet était resté sans réponse. Ici, ça ne se fait pas, tout commentaire méritera une réponse ou sera supprimé. Ben oui, je suis chez moi et je suis pas du genre à tout laisser dire. N'importe quoi, oui, mais tout, non !
Alors voici ma réponse à MAP :
Oh, ben mince, je ne t'avais pas répondu, dis donc, m'enfin c'est quoi ces manières ! Tu ne le vois pas, mais je joins le geste à la parole et je me botte les fesses, enfin la fesse droite, avec mon talon droit. Ce qui indique que j'écris ce commentaire debout, ce qui est peut-être un détail pour toi, mais qui ne veux rien dire du tout !! :-D
Eh bien ma foi, on a enfin bu la bière de Noël qu'on leur réservait, on s'est aussi souhaité tout un tas de bons voeux de bonne année, j'avais émis de nous souhaiter de joyeuses pâques, mais ma copine m'a assuré qu'on se reverrait dans ses environs du calendrier... Elle n'a pas dit le modèle de 2012... Mais j'espère vivre encore quelques années, alors, on devrait se voir à pâques un de ses quatre ! :-D

mardi 13 mars 2012

De la difficulté de rencontrer les gens près de chez soi

Il est assez aisé de rassembler une tablée de blogueurs éloignés, mais alors boire un coup avec des potes qui habitent à un,quart d'heure de bagnole ou une heure de bus, c'est vraiment pas simple !! Depuis le 4 décembre, ça remonte un brin. Et pourtant, il y'avait un jour de plus en février, cette année. Non, parce que l'on serait tenté de penser (la tentation est partout, même dans les pensées, dites donc, on voit que c'est le printemps !) que les années bissextiles seraient d'avantage propices aux rendez-vous. Eh bien non ! Et on oublie assez souvent de le dire, je trouve. Et encore, je ne vous parle pas d'une soirée crêpes avec une copine qui eut dû avoir lieu, depuis, ouh, là, là, si je savais écrire Mathusalem, c'est le mot que je choisirais !! Enfin par bonheur cette dernière devrait migrer dans les Pyrénées et je suis sûre que là, ce sera BEAUCOUP plus simple pour qu'on se voit !!

Voilà qui est étrange

J'ai envie d'aller faire du papier ! Oui, à 3 heures 30 du mat' !
Dans ma vie, j'en ai fait des mauvaises nuits, pétrie d'angoisses, de peurs, de cauchemars qui me tombaient dessus en plein cœur du sommeil. Il m'est arrivée de me réveiller par stress d'un examen, la faim, l'envie de pisser, de câliner mon homme, bref, des trucs normaux, mais me lever par envie de faire du papier, ça c'est une première ! Et je trouve ça, quand même un peu étrange. Depuis 36 années que je vis avec moi, j'arrive encore à me surprendre !!

lundi 12 mars 2012

Brêve incursion dans ma cervelle câblée en autodérision.

Je me suis rendue dans mon atelier où se trouve ma table et mon fer à repasser, pour aller défroisser une chemise que j'ai tout l'air d'avoir piqué à Thomas Fersen :


je suis passée devant une reproduction de photo de Doisneau punaisée au mur :


en me disant que j'étais pile poil coiffée comme la chienne de l'ami Jacques ! J'ai tiré la langue pour voir et si pour la couleur, je repasserai, pour le reste, c'est à peu près tout pareil !

dimanche 11 mars 2012

Nom d'une pipe ! Rendons à Nicolas, ce qui est à Nicolas et à Jacques, ce qui est à Jacques

Mais non, je vais pas vous causez de président de la république, c'est une maison de qualité, ici, dites donc !! Enfin je trouve :-D
Souvent j'entends en référence à Boileau : "cent fois sur le métier remettez votre ouvrage", mais pour être exact, il a dit : "Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage. Polissez et le repolissez..." Pour ce qu'il y est de remettre à cent fois, là, c'est du Prévert : "Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage à demain, si l'on ne vous paye pas le salaire d'aujourd'hui". Voilà, ça m'importait de l'écrire, non pour Boileau, on peut l'écorcher autant qu'on veut, je m'en tape, mais pour ce qui est de Prévert, là, c'est une autre affaire !

samedi 10 mars 2012

Oh, joie !

Une fleur à ma hauteur enfin éclose. C'est le printemps ! Reste plus qu'à voir le jaune des pissenlits et je pourrai me déguiser en coquelicot froissé pour me planter les pieds dans l'herbe !

Histoire de merle, de paresse, de patronne et de visserie (huilée à ma façon, autant dire qu'on ne peut guère dire bien huilée ;-D)

Le merle scarifie notre pelouse et je le regarde bosser, c'est assez agréable d'être contrôleur du travail fait par d'autres. Bigre me découvrirais-je des atomes insoupçonnés de patronne ?
Que je réfléchisse, je prends actuellement mon pied à réaliser un travail artisanal... Je n'ai donc point encore acquis l'âme d'une cheffesse. Ouf, c'est juste la paresse qui me gagne ! Et ça tombe bien, j'ai besoin de fixer des étagères dans l'arrière-cuisine (endroit métamorphosé en moulin à papier de fortune). Comment ça, vous ne voyez pas le rapport ? La paresse ne serait-elle donc plus la mère de toutes les vis ?

vendredi 9 mars 2012

Vous connaissez Sabine Brossel ?

Ben moi non plus, mais l'une des libraires chez qui j'ai déposé des bouquins lui a fait un chèque pour mes livres vendus...

mercredi 7 mars 2012

A chacun ses rêves...

...moi, je rêve d'une pile hollandaise. Meuh, non, pas d'une pile importée d'Hollande, même qu'il n'y aurait pas besoin de se demander quel genre de luzerne aurait absorbé le lapin pour durer aussi longtemps. Non, je rêve d'une pile hollandaise comme ça et tant qu'à faire, si je pouvais avoir le moulin qui va avec... à la rigueur, je me passerai du champ de tulipes !
Parait que pour gagner à la loterie faut s'acheter un billet dites donc, et moi qui pensais que c'était un moyen de s'offrir un impôt consenti à un rythme pluri-hebdomadaire.

mardi 6 mars 2012

On pourrait croire que non, mais si, en fait Lao Tseu avait de l'humour ou (oui, c'est au choix ce soir) le titre est plus long que le billet lui même

"Celui qui a inventé le bateau a inventé le naufrage".
(Me demande ce qu'il penserait de l'inventeur de la croisière !).

Dans ma boite aux lettres

m'attendait le règlement du salon du livre, je commençais tout doucement à penser à exposer et proposer à la vue des nouveautés, tâter le terrain pour mes futurs projets... mais la question est réglée : ce qui a trait à l'écriture et à l'illustration, aux livres quoi, sans compter l'assurance à la charge de l'exposant, mes vitrines en verres et mes globes seront mieux ici (mes sculptures n'entrant pas en littérature et puis, je me doute que je ne vais en vendre bésef des bouquins et l'idée c'est de renflouer un brin mes caisses pas de les vider).
Mon prochain livre n'étant pas là de sortir... Au contraire même, sentant le numérique vent en poupe, je me suis attelée à la plasticité pour avoir contact avec la matière. J'ai besoin de sentir et de palper les choses en vraie.C'est comme ça depuis décembre 2009, et je crois que c'est parti pour durer. Le livre sans papier, mon petit homme essaye de m'en faire la promo. Oh, je suis convaincue, et largement même, mais je suis convaincue pour les autres auteurs, pas pour moi. Peut-être que s'il faut vivre avec son temps, alors je ne suis pas faite, en mon temps, pour être auteure. C'est ma conclusion, conclusive ou transitoire, je ne saurais le dire pour l'instant.
Bref, pour le salon du livre, ce sera tout petit stand, car j'ai peu de visuel pour mes six histoires et que ma tache n'est plus d'actualité.
J'aime quand les affaires sont si rondement menée, j'ai plus rien à penser ou presque dites donc !!

lundi 5 mars 2012

La gravité n'est pas une gentille fille. Quoique si, un peu quand même.

Des fois, je joue les imbéciles, Bon d'accord, je recommence : souvent, je joue les imbéciles (et n'ayant aucune espèce de suite dans les idées, j'en viens avec une régularité métronomique à me demander pourquoi on pense parfois (voire même souvent) que je suis bête à manger du foin. Alors que jamais, je n'en ai goutté. Vu la bonne odeur que ça dégage, c'est peut-être un tort, d'ailleurs).
Alors, quand je joue aux imbéciles (oui, au pluriel, plus on est de fous plus on rit), je me demande (entre autre) comment c'était le monde avant que Newton ait inventé la loi de la gravité. Ce qui est bien une imbécilité, car à y réfléchir deux minutes, on voit tout de suite, que c'est la pomme qui a inventé la gravité en chutant au lieu de prendre son envol (oui, avant que le fruit ne cause tous ces soucis, nous vivions en poésie, les pommes volaient et on avait même pas besoin de se baisser pour les ramasser, elles vous tombaient rôties dans le bec, c'était-y pas chouette ? A l'époque se prendre une tarte, ça avait une autre allure, c'est moi qui vous le dit !).
Bref, la moitié de ma production papetière du matin est tombée par terre et j'eus préféré que cela se produise après lui avoir appris à l'éviter. Comment ? On dit léviter ?
Bref, j'ai recommencé, non mais ! N'empêche que c'est bien tombé :-D, sans cette péripétie papetière, je n'eus rien eu à vous raconter.

vendredi 2 mars 2012

Carte postale


Les vacances touchent à leur fin.
Le temps était couvert mais comme disait Willy (William Arthur Ward) "Une journée nuageuse ne peut rien contre un tempérament radieux", alors ma foi, la météo chagrine nous n'en avions cure ! Nous visitons le Nord artisanal et artistique, des journées bien remplies ponctuées d'ateliers plastiques et de fous rires. La carte est une des deux seules photos que j'ai prises (MAP et petit homme s'en donnent à cœur joie et font moult clichés), un détail de la sculpture qui accueille le visiteur au Musée de la dentelle de Caudry, où le tulliste Bernard nous a fait une visite fort sympathique et des plus instructives. Je suis sortie de là, bien fière d'être nordiste, ben oui ! La veille à la poterie de Ferrière la Petite, ce fut tout pareil et le guide potier était tout aussi avide d'être agréable à son public, deux biens beaux moments !
Voilà, je viens de finir le pique nique (de le préparer, hein ? Pas de le manger ;-D) et nous filons !

Bonjour chez vous et très belle fin de semaine à tous

Sandrine