lundi 11 juillet 2011
Instant de vie ou paradoxe
J'ai un chignon décoiffé, une jolie robe avec dentelles et un sautoir en coquillages (parfois j'aime à l'entortiller autour de mes doigts). Près de moi, posée sur un plateau shaby chic, une vieille tasse en porcelaine blanche, dorée sur les bords avec sous tasse assortie fume : du thé blanc et quelques boutons de roses biologiques y infusent. Je sirote ma boisson, tous les doigts collés à la tasse, en lisant San Antonio. Et je me régale tout autant du thé que du livre.
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J'aime ce billet et le bonheur qu'il distille.
RépondreSupprimerJolie photo textuelle ;-) Tchin !
RépondreSupprimerOh merci Berthoise, j'aime l'idée de distiller le bonheur. On trinque avec Fred ?
RépondreSupprimerMerci itou Fred, un instantané c'est tout à fait ce que je voulais faire sans l'aide de l'appareil.
Un instant de bonheur plaisir serein comme une aquarelle délicate! j'aime ça! :)
RépondreSupprimerMerci Julia, je voyais plutôt une photo sépia, ma tenue me donnant l'air de sortir d'un autre âge, mais j'aime les aquarelles, ton commentaire me fait monter à la bouche un petit goût de miel et ça me rappelle le temps ou je suçais mon pinceau.
RépondreSupprimerQuel joli tableau !!! De quel couleur est le thé blanc d'Henri IV ??? Est-il vraiment blanc ou plus que blanc ou pas tout à fait blanc ou alors presque blanc ???
RépondreSupprimerLe thé blanc d'Henri IV est à cheval sur les principes : infusion à 85°Cinq minutes. Je dois dire qu'il fait merveille avec le goût parfumé des roses...
RépondreSupprimerIl n'est pas vraiment blanc en fait, mais ce sont les plus jeunes feuilles du théier qui sont cueillies, peut-être que le blanc est dû à la couleur des langes, de la jeunesse, je poétise, je n'en sais rien en fait ;-)